S'il est une plante qui m'a souvent happée vers des contrées imaginaires, c'est bien la digitale, à la fois sorcière et fée.
Cette belle vénéneuse se laisse admirer dans les grimoires, sur le bord des chemins et aussi dans les rues de Paris. Je l'ai d'abord croisée près de l'Hôtel de Sens, dans le quartier du Marais.